Présentation de Loïc le jardineur

Bonjour, je m’appelle Loic Vauclin, j’ai 50 ans et je suis papa d’une petite fille. Un jour, un lecteur de mon site m’a attribué le surnom de jardineur : La contraction de jardinier et bricoleur, c’est comme ça que je suis devenu Loïc le jardineur.

D’aussi loin que je me souvienne, il y a toujours eu des potagers dans ma famille. Ma première expérience était avec mon grand-père. Je me souviens des récoltes fabuleuses de pomme de terre derrière son petit tracteur. Tout naturellement, en emménageant dans ma première maison j’ai fait mon potager. Malheureusement à l’époque, je n’avais pas de camera, alors voila la seule photo que j’ai retrouvé. Déjà à l’époque, j’aimais bien les planches de culture bien délimitée.

Je jardine depuis une 20ene d’année maintenant et je partage depuis janvier 2011, au travers de mon blog, toutes mes expériences autour du potager.

Des premières expériences peu concluantes

Je dois vous avouer que ces expériences n’ont pas toujours était couronné de succès. Moi aussi, je suis passé par le stade du jardinier qui n’a même pas un radis à se mettre sous la dent. J’ai pris une bonne claque à l’époque où j’ai emménagé dans une petite maison de ville. En fait sans le savoir mon premier potager était un héritage. Je n’ai fait que de continuer le travail de plusieurs générations de jardinier. Le terrain ou je cultivais étais surement un potager de longue date. Du coup, j’ai profité du travail de préparation et d’amendement que les jardiniers avant moi avaient mis en place. J’ai jardiné avec succès durant quelques années sans trop me poser de questions.

Seulement quand j’ai voulu cultiver mon terrain de ville, j’ai un peu fait la grimace. Le sol n’était rien autre que du remblai pauvre et sans la moindre trace de vie. En 2008 quand je donnais un coup de fourche dans mon sol, il n’y avait pas un seul vers de terre et cette terre était tellement sableuse qu’après 2 ou 3 jours de soleil tout était secs. C’est seulement après 3 ans que j’ai commencé à obtenir des résultats. Je ne cherchais pas dans la bonne direction.

Heureusement j’ai pu inverser la tendance. Aujourd’hui mon potager de ville est quasiment autonome ! Attention ! Je dis que les légumes poussent tous seul sans être semé ! Mais le jardin qui ne fait que 200 mètre carré est devenu une arche de biodiversité isolé en plein cœur de la ville. Regardez comme ce terrain a changé de visage. Pour l’essentiel, les plantes arbres et arbustes ont poussé spontanément. Il y a seulement le poirier, le péché et quelques rosiers qui ont été planté.

Un potager sur la terrasse

Apres ce petit potager de ville, j’ai vécu 3 ans dans un appartement avec 2 terrasses. Ce fut l’occasion pour moi d’expérimenter la culture hors sol. J’ai aménagé cette terrasse avec des bacs autonomes basé sur la conception des Wicking bed. Ce potager urbain, m’a permis de comprendre comment reproduire un sol vivant même dans des pots ou jardinière. Ma plus belle réussite c’est d’avoir récolter dans une petite jardinière 10kg de poire, 3kg de pomme de terre, des piments, des tomates cerises, dans une même jardinière.

Contraint, par les limites de mon premier potager de ville, et pendant que je vivais en appartement en 2011, j’ai installé un second potager sur une prairie de campagne. Je voulais tout recommencer pour me donner l’occasion de photographier et de filmer tous ce qui n’avait pu être enregistré lors de l’installation du potager de ville. C’est le potager qui n’a servi de support pour la plupart de mes vidéos. J’ai eu beaucoup de plaisir à cultiver ce potager et il a été généreux avec moi aussi bien en termes de récolte que d’apprentissage. C’est avec ce potager que j’ai pu vraiment gouter le plaisir de jardiner debout, et avec le temps, j’ai pu mettre en évidence les faiblesses de la culture en bac. J’ai aussi beaucoup appris sur la création d’un sol avec le remplissage des potager surélevés. Voila en 2019 à quoi il ressemblait. Ce sont les dernière image, car j’ai dû effacer ce potager et remettre le terrain dans son état d’origine.

Un nouveau départ

C’est à cette époque que nous avons décidé avec ma femme de partir en Aveyron pour vivre une nouvelle expérience. Nous avons pour projet de nous installer en autonomie. Alors c’est un bien grand mot, mais je ne vais pas en débattre ici car ce n’est pas le but de cette vidéo. C’est juste pour vous dire, que j’ai l’occasion une nouvelle fois de vous proposer de me suivre autour de la création d’un nouveau potager. Voila, notre terrain de jeu ! des conditions beaucoup plus difficiles que la pairie plate et fertile de Normandie. Sur ce nouveau terrain en pente, le sol est beaucoup plus difficile et les pentes accentue encore plus ces difficultés. Après des travaux importants pour créer une mare, une cure enterrer et un mur de soutènement pour éviter les glissements de terrain. Le nouvel emplacement du potager se dessine doucement. L’objectif de ce potager serra bien sûr de nous rendre autonome en production végétal, mais aussi de générer un complément de revenu. Derrière cette idée d’autonomie, je compte aussi créer une activité autour de la production de nourriture. Le projet est encore au stade d’embryon, mais il tourne surement autour des champignons, des jeunes pousses et des truites.

Donc, vous pouvez imaginer que je vais avoir beaucoup de chose à partager. Pour ne pas en manquer une miette, le plus sur c’est de nous abonner à ma liste emails. Petite précision a ce sujet ! vos emails ne sont ni loués ni revendu ! Il n’y a que moi que les utilise et dès que vous n’êtes plus en accore avec moi, vous pouvez vous désinscrire !

Jardiner debout