Auteur/autrice : Guylaine
Survivre joyeusement avec Guylaine
Vous connaissez déjà Guylaine par les articles qu’elle écrit sur mon blog et par ses livres. Ca y est !!!! Elle a fait le grand…
Vous connaissez déjà Guylaine par les articles qu’elle écrit sur mon blog et par ses livres. Ca y est !!!! Elle a fait le grand…
Ce n’est pas sans une certaine fierté que j’accueille Guylaine Goulfier sur mon blog ! L’auteur du livre Révolution au potager nous présente :
[/vc_column_text][vc_column_text css_animation="right-to-left"]Si vous n'avez pas encore ce manifeste dans votre bibliothèque, c'est le moment de passer à l'action car il ne sera plus édité ! Et vous pouvez allez voir sur amazon, il n'est pas a ce prix là ! :)
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row el_id="" front_status="" inner_container="yes" text_align="" text_color="" section_type="main" type="" bg_color="" bg_position="top" bg_position_horizontal="left" bg_repeat="no-repeat" bg_cover="true" bg_attachment="false" enable_parallax="" parallax_speed="0.1" bg_video_src_mp4="" bg_video_src_ogv="" bg_video_src_webm="" vertical_align="" column_gap="" padding_top="40" padding_bottom="40" padding_left="" padding_right="" margin_top="" margin_bottom="" min_height="0" border="bottom" overflow="" animation="" css_animation="right-to-left" visibility="" inline_style="" el_class="" bg_type="no_bg" parallax_style="vcpb-default" bg_image_new="" layer_image="" bg_image_repeat="repeat" bg_image_size="cover" bg_cstm_size="" bg_img_attach="scroll" parallax_sense="30" bg_image_posiiton="" animation_direction="left-animation" animation_repeat="repeat" video_url="" video_url_2="" u_video_url="" video_opts="" video_poster="" u_start_time="" u_stop_time="" viewport_vdo="" enable_controls="" bg_override="0" disable_on_mobile_img_parallax="" parallax_content="" parallax_content_sense="30" fadeout_row="" fadeout_start_effect="30" enable_overlay="" overlay_color="" overlay_pattern="" overlay_pattern_opacity="80" overlay_pattern_size="" multi_color_overlay="" multi_color_overlay_opacity="0.6" seperator_enable="" seperator_type="none_seperator" seperator_position="top_seperator" seperator_shape_size="40" seperator_svg_height="60" seperator_shape_background="#fff" seperator_shape_border="none" seperator_shape_border_color="" seperator_shape_border_width="1" icon_type="no_icon" icon="" icon_size="32" icon_color="" icon_style="none" icon_color_bg="" icon_border_style="" icon_color_border="#333333" icon_border_size="1" icon_border_radius="500" icon_border_spacing="50" icon_img="" img_width="48" ult_hide_row="" ult_hide_row_large_screen="" ult_hide_row_desktop="" ult_hide_row_tablet="" ult_hide_row_tablet_small="" ult_hide_row_mobile="" ult_hide_row_mobile_large=""][vc_column width="1/1"][vc_column_text lead="" font_size="" font_weight="" animation="" css_animation="right-to-left"][membership level=0]Passage du motoculteur, bêchage et binage, fertilisation et amendements, désherbage, arrosage… cela fait 20 ans que je pratique le jardinage. Jardinage « biologique » (en intervenant le moins possible dans les cycles naturels) bien sur ! Je me base pour cela sur la compréhension que j’ai du sol et des plantes, données acquises durant mes études agricoles. Mais, l’an passé, à l’occasion de l’écriture d’un livre, toute cette paisible construction a été ébranlée. Une découverte m’a fait prendre conscience que nos connaissances se limitaient à ce qu’il se passait à la surface du sol. Là où justement le jardinier intervient. Que si l’on peut définir de façon physicochimique ce qu’est le sol, la vie qui est à l’œuvre dans ses profondeurs reste presque totalement inconnue. Je vous propose de vous faire partager mes découvertes de l’an dernier (une vraie « révélation » pour moi !) après avoir fait le point sur ce que l’on connaît déjà. Et avant d’en tirer conséquence sur les pratiques de jardinage.
[/vc_column_text][ultimate_heading main_heading="I-CE QUE L’ON SAIT" heading_tag="h2" alignment="left" spacer="no_spacer" spacer_position="top" spacer_img_width="48" line_style="solid" line_height="1" line_color="#333333" icon_type="selector" icon_size="32" icon_style="none" icon_color_border="#333333" icon_border_size="1" icon_border_radius="500" icon_border_spacing="50" img_width="48" line_icon_fixer="10" main_heading_margin="margin-top:32px;"] [/ultimate_heading][vc_column_text css_animation="right-to-left"] Voici, en condensé, ce que j’ai appris en lycée agricole puis en BTS et que j’ai diffusé dans tous mes articles. Un petit inventaire de choses concrètes, de mécanismes bien définis : [/vc_column_text][ultimate_heading main_heading="Naissance et (sur)vie du sol" heading_tag="h3" alignment="left" spacer="no_spacer" spacer_position="top" spacer_img_width="48" line_style="solid" line_height="1" line_color="#333333" icon_type="selector" icon_size="32" icon_style="none" icon_color_border="#333333" icon_border_size="1" icon_border_radius="500" icon_border_spacing="50" img_width="48" line_icon_fixer="10"] [/ultimate_heading][vc_column_text css_animation="right-to-left"]A l’origine une roche mère, un socle de pierre. Les pluies, le vent, le gel, la neige participent à sa dégradation, à sa fragmentation en minéraux de plus en plus fins : des graviers, des gravillons, du sable, des limons, des argiles et des éléments minéraux en suspension dans l’eau du sol.
Mais cette fragmentation ne suffit pas à créer le sol. Il est nécessaire pour cela que le minéral rencontre le végétal. Ce qui, sous des climats tempérés a lieu assez rapidement : les premiers lichens s’installent sur la pierre, puis les mousses et enfin des plantes pionnières dont les racines n’ont besoin que de très peu de terre. Ces végétaux se développent puis meurent, formant ainsi une litière sur le sol. Celle-ci est décomposée par tout une faune (dont les déchets et les cadavres enrichissent la litière) et une flore (bactérie, champignons…) qui participent à sa décomposition.
Deux mécanismes, simultanés, en découlent : la libération d’éléments minéraux et la création d’une molécule organique très particulière : l’humus.
Cette molécule est « colloïdale » : elle a la vertu de capter, d’absorber d’autres particules ainsi que de nombreux ions.. L’humus se lie avec les molécules d’argile, également colloïdales, pour constituer le Complexe Argilo Humique. Ce dernier fonctionne comme une éponge : il retient l’eau et les éléments minéraux et les restitue aux racines en fonction des besoins des plantes. Le CAH donne du corps aux terres légères et allègent les terrains trop lourds.
Le sol est en perpétuelle évolution tant en surface (avec la décomposition de la litière pour maintenir le taux d’humus) qu’en profondeur, avec la dégradation de la roche mère assurant le maintien du taux d’argile.
[/vc_column_text][ultimate_heading main_heading="La plante capte et pompe" heading_tag="h3" alignment="left" spacer="no_spacer" spacer_position="top" spacer_img_width="48" line_style="solid" line_height="1" line_color="#333333" icon_type="selector" icon_size="32" icon_style="none" icon_color_border="#333333" icon_border_size="1" icon_border_radius="500" icon_border_spacing="50" img_width="48" line_icon_fixer="10"] [/ultimate_heading][vc_column_text css_animation="right-to-left"]Nous l’apprenons tous très vite : les végétaux captent dans le sol les éléments minéraux et l’eau nécessaires à leur croissance. Il s’agit de la sève brute qui est transportée par des canaux des racines à l’appareil aérien. Le feuillage capte l’énergie lumineuse qui, par le biais de la photosynthèse, est transformée en glucides, en sève « élaborée ». Cette dernière permet à la plante de se développer.
[/vc_column_text][vc_single_image image="1792" alignment="center" border_color="grey" img_link_large="" img_link_target="_self" css_animation="right-to-left" img_size="full"][ultimate_heading main_heading="En conséquence" heading_tag="h3" alignment="left" spacer="no_spacer" spacer_position="top" spacer_img_width="48" line_style="solid" line_height="1" line_color="#333333" icon_type="selector" icon_size="32" icon_style="none" icon_color_border="#333333" icon_border_size="1" icon_border_radius="500" icon_border_spacing="50" img_width="48" line_icon_fixer="10"] [/ultimate_heading][vc_column_text css_animation="right-to-left"]Le sol est un substrat pour la plante : il lui permet de s’ancrer. Sa texture et sa structure doit être fine et meuble afin de permettre aux racines de s’étendre. Mais aussi à l’air et à l’eau (chargée d’éléments minéraux) de circuler pour mieux alimenter les plantes. En conséquence, pour avoir une « bonne terre », on pourra avoir recours à des amendements. Et pour qu’elle soit meuble, on la travaillera mécaniquement. Cet ameublissement permettra de détruire les mauvaises herbes qui concurrencent les cultures en puisant leurs nutriments dans le sol. La plante (é)puisant les éléments du sol, sa récolte crée une perte (en agriculture on parle « d’exportation »). Il convient donc de « restituer » au sol ce que la culture a prélevé et donc d’appliquer une fertilisation. À savoir : utiliser des engrais « chimiques » (solubles, ils sont directement absorbables par les plantes) ou nourrir le sol pour pouvoir nourrir les végétaux, avec des engrais bios (guano, patentkali…) ou des amendements organiques : fumier, compost…
[/vc_column_text][ultimate_heading main_heading="II-CE QUE L’ON DECOUVRE" main_heading_color="" main_heading_line_height="" heading_tag="h2" sub_heading_color="" sub_heading_line_height="" alignment="left" spacer="no_spacer" spacer_position="top" spacer_img_width="48" line_style="solid" line_height="1" line_color="#333333" icon_type="selector" icon="" icon_size="32" icon_color="" icon_style="none" icon_color_bg="" icon_border_style="" icon_color_border="#333333" icon_border_size="1" icon_border_radius="500" icon_border_spacing="50" icon_img="" img_width="48" line_icon_fixer="10" main_heading_margin="margin-top:32px;"] [/ultimate_heading][vc_column_text css_animation="right-to-left"]Je ne mets pas en cause ce qu’écrit précédemment. Simplement l’an dernier une photo à tout changé pour moi. Il s’agissait de plusieurs images d’une racine de maïs expulsant une substance dans le sol. Mais qu’est-ce que c’était que cela ?L’illustration de la racine en coupe a été la révélation. On y voyait bien les deux petits canaux transportant la sève brute. Mais aussi un gros canal central emmenant la sève élaborée jusqu’à l’extrémité de la racine. La sève élaborée est diffusée dans le sol. Ok la phrase n’a l’air de rien mais pour moi c’était le début de la révélation !
[/vc_column_text][ultimate_heading main_heading="Rhizodéposition : kézako ?" heading_tag="h3" alignment="left" spacer="no_spacer" spacer_position="top" spacer_img_width="48" line_style="solid" line_height="1" line_color="#333333" icon_type="selector" icon_size="32" icon_style="none" icon_color_border="#333333" icon_border_size="1" icon_border_radius="500" icon_border_spacing="50" img_width="48" line_icon_fixer="10"] [/ultimate_heading][vc_column_text css_animation="right-to-left"]La plante utilise la sève élaborée (jusqu’à 20%) pour diffuser dans le sol un cocktail de substances riches en carbone. Cette excrétion se nomme rhizodéposition.
Rappelons ici un chose fondamentale : pour tous les êtres vivants, le carbone est un carburant indispensable, primordial. Or, la terre grouille de millions de micro-organismes à la recherche de carbone. Nombre d’entre eux (essentiellement des bactéries et des champignons) se massent donc autour des racines pour capter ce carbone. Cette flore souterraine contient divers éléments minéraux et oligo-éléments puisés pour leur fonctionnement dans le sol : de l’azote, de la potasse, du phosphore, du fer, du sélénium… Les bactéries et champignon de la rhizosphère sont dévorés par des nématodes, des amibes… Ces prédateurs vont rejeter une partie du contenu de leur proie : des éléments minéraux devenus absorbables par les plantes. Cela tombe bien : les micro-organismes dévorés étaient contre les poils absorbants des racines ; celles-ci captent immédiatement les nutriments libérés à proximité.
Bien sûr les prédateurs des champignons et bactéries deviennent à leur tour des proies d’acarien et autre faune prédatrice et ainsi de suite. Dans les profondeurs de la terre, une vraie chaîne alimentaire existe.
Le sol est en quelque sorte l’appareil digestif des plantes. Le végétal demeure le donneur d’ordre de cette chaîne. Besoin de fer, de potasse, de magnésium ? Hop : la plante modifie la composition de sa rhizodéposition et attire, élève des bactéries contenant les nutriments qui lui manquent. Que deviennent les autres populations devenues inutiles pour la plante. Elles meurent mais restent dans le sol, maintenant dans leur corps les fameux nutriments potentiels. De petits sacs d’engrais en quelque sorte. Tous ces micro-organismes attirés dans la rhizosphère forment l’humus microbien. Une plante exigeante en potasse par exemple ne se contente pas de prélever cet élément minéral ; en mobilisant les bactéries qui le contiennent, elle participe à sa remontée des profondeurs du sol. La plante récoltée, le sol sera enrichi en potasse fixée sur le CAH ou présents dans les corps microbiens.
[/vc_column_text][ultimate_heading main_heading="Et si les plantes ameublissaient le sol ?" main_heading_color="" main_heading_line_height="" heading_tag="h3" sub_heading_color="" sub_heading_line_height="" alignment="left" spacer="no_spacer" spacer_position="top" spacer_img_width="48" line_style="solid" line_height="1" line_color="#333333" icon_type="selector" icon="" icon_size="32" icon_color="" icon_style="none" icon_color_bg="" icon_border_style="" icon_color_border="#333333" icon_border_size="1" icon_border_radius="500" icon_border_spacing="50" icon_img="" img_width="48" line_icon_fixer="10"] [/ultimate_heading][vc_column_text lead="" font_size="" font_weight="" animation="" css_animation="right-to-left"]Sous une litière ou lorsque l’on arrache une plante, on peut observer une terre joliment grumeleuse. Une texture idéale naturellement créée par la vie du sol. Les bactéries sont enveloppées d’une glue qui leur permet de se coller aux moindres particules… et de lier celles-ci entre elles. Les champignons font de même en émettant leur propre colle (la glomaline) et en formant des résilles avec leurs filaments. Les milliers d’animaux qui circulent dans le sol creusent des galeries qui aèrent les agrégats. Inutile donc d’ameublir le sol pour que les racines se développent : en se développant que les racines ameublissent le sol.
[/vc_column_text][ultimate_heading main_heading="Et si les racines étaient indispensables à la survie du sol ?" main_heading_color="" main_heading_line_height="" heading_tag="h3" sub_heading_color="" sub_heading_line_height="" alignment="left" spacer="no_spacer" spacer_position="top" spacer_img_width="48" line_style="solid" line_height="1" line_color="#333333" icon_type="selector" icon="" icon_size="32" icon_color="" icon_style="none" icon_color_bg="" icon_border_style="" icon_color_border="#333333" icon_border_size="1" icon_border_radius="500" icon_border_spacing="50" icon_img="" img_width="48" line_icon_fixer="10"] [/ultimate_heading][vc_column_text lead="" font_size="" font_weight="" animation="" css_animation="right-to-left"]On l’a vu : pour continuer à exister le sol doit être dégradé aussi bien en surface qu’en profondeur. Mais comment la roche-mère, recouverte de terre, peut-elle être dégradée ? Grâce au CO2 et aux divers acides organiques libérés par les racines et les micro-organismes que mobilisent celles-ci ! On parle toujours du maintien du taux d’humus dans le sol. On n’aborde en revanche jamais la problématique du renouvellement du stock d’argiles. Seules les racines vivantes et toute la rhizosphère permettent leur émission.
[/vc_column_text][ultimate_heading main_heading="III-CE QUE L’ON DEDUIT : UN NOUVEAU JARDINAGE" heading_tag="h2" alignment="left" spacer="no_spacer" spacer_position="top" spacer_img_width="48" line_style="solid" line_height="1" line_color="#333333" icon_type="selector" icon_size="32" icon_style="none" icon_color_border="#333333" icon_border_size="1" icon_border_radius="500" icon_border_spacing="50" img_width="48" line_icon_fixer="10" main_heading_margin="margin-top:32px;"] [/ultimate_heading][vc_column_text lead="" font_size="" font_weight="" animation="" css_animation="right-to-left"]Cela n’a peut-être l’air de rien mais changer de regard sur la plante, ne plus considérer cette dernière, même cultivée, comme dépendante de l’homme… modifie complètement la conception que l’on a du jardinage.
[/vc_column_text][vc_single_image image="1796" alignment="center" border_color="grey" img_link_large="" img_link_target="_self" css_animation="right-to-left" img_size="full"][vc_column_text lead="" font_size="" font_weight="" animation="" css_animation="right-to-left"]Stop à certaines pratiques Destruction des vers de terre et de leur ponte, oxydation de l’humus, dépense de carburant (de temps et d’énergie aussi)… le passage du motoculteur est jugé par beaucoup comme néfaste. Ainsi que tout travail profond du sol. Je me conterais, pour l’heure, de dire que je trouve la pratique totalement inutile. Un sol vivant (et je parle ici de la vie souterraine pas seulement celle se trouvant en surface) n’a pas besoin d’être ameubli.
Stop à la fertilisation, même bio. Les engrais solubles, chimiques, fonctionnent chez les plantes comme une perfusion. La rhizodéposition, alors inutile, diminue, et le réseau alimentaire dans le sol est court-circuité. Les engrais bio ne posent pas le même problème mais comment prétendre que les apports artificiellement donnés aux plantes soient aussi précis, subtils que ceux qu’élaborent les végétaux en –mêmes ?
Et, bien sur, n’utilisez les pesticides qu’en dernier recours. La bouillie bordelaise est parfois nécessaire pour prévenir les attaques de mildiou. Mais appliquée systématiquement et en excès, les particules de cuivre se retrouvent dans le sol et, leur action étant fongicide, portent préjudice aux champignons de la rhizosphère.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row el_id="" front_status="" inner_container="yes" text_align="" text_color="" section_type="main" type="" bg_color="" bg_position="top" bg_position_horizontal="left" bg_repeat="no-repeat" bg_cover="true" bg_attachment="false" enable_parallax="" parallax_speed="0.1" bg_video_src_mp4="" bg_video_src_ogv="" bg_video_src_webm="" vertical_align="" column_gap="" padding_top="40" padding_bottom="40" padding_left="" padding_right="" margin_top="" margin_bottom="" min_height="0" border="bottom" overflow="" animation="" css_animation="right-to-left" visibility="" inline_style="" el_class="" bg_type="no_bg" parallax_style="vcpb-default" bg_image_new="" layer_image="" bg_image_repeat="repeat" bg_image_size="cover" bg_cstm_size="" bg_img_attach="scroll" parallax_sense="30" bg_image_posiiton="" animation_direction="left-animation" animation_repeat="repeat" video_url="" video_url_2="" u_video_url="" video_opts="" video_poster="" u_start_time="" u_stop_time="" viewport_vdo="" enable_controls="" bg_override="0" disable_on_mobile_img_parallax="" parallax_content="" parallax_content_sense="30" fadeout_row="" fadeout_start_effect="30" enable_overlay="" overlay_color="" overlay_pattern="" overlay_pattern_opacity="80" overlay_pattern_size="" multi_color_overlay="" multi_color_overlay_opacity="0.6" seperator_enable="" seperator_type="none_seperator" seperator_position="top_seperator" seperator_shape_size="40" seperator_svg_height="60" seperator_shape_background="#fff" seperator_shape_border="none" seperator_shape_border_color="" seperator_shape_border_width="1" icon_type="no_icon" icon="" icon_size="32" icon_color="" icon_style="none" icon_color_bg="" icon_border_style="" icon_color_border="#333333" icon_border_size="1" icon_border_radius="500" icon_border_spacing="50" icon_img="" img_width="48" ult_hide_row="" ult_hide_row_large_screen="" ult_hide_row_desktop="" ult_hide_row_tablet="" ult_hide_row_tablet_small="" ult_hide_row_mobile="" ult_hide_row_mobile_large=""][vc_column width="1/2"][vc_empty_space height="32px"][product id="11117"][/vc_column][vc_column width="1/2"][ultimate_heading main_heading="Un jardinage de fainéant ?" heading_tag="h3" alignment="left" spacer="no_spacer" spacer_position="top" spacer_img_width="48" line_style="solid" line_height="1" line_color="#333333" icon_type="selector" icon_size="32" icon_style="none" icon_color_border="#333333" icon_border_size="1" icon_border_radius="500" icon_border_spacing="50" img_width="48" line_icon_fixer="10"] [/ultimate_heading][vc_column_text css_animation="right-to-left"]Mieux respecter les cycles naturels (en y intégrant les mécanismes souterrains) ne rime pas avec laisser-faire. Le jardinier va simplement pratiquer autrement. Plus tranquillement aussi :
D’abord toujours couvrir le sol ! Avec du BRF, de la paille, du fumier, des tontes de gazon, des déchets de cuisine et de jardin à étaler en surface de la terre plutôt que mis à composter en tas… Il faut en effet permettre le maintien du taux d’humus dans le sol.
Mais l’idéal reste tout de même la couverture du sol par des plantes vivantes. Plus il y a de racines, plus il y aura de vie dans la terre et plus la roche-mère libèrera d’éléments minéraux et d’argiles. Semons donc des engrais verts bien sur, mais cultivons aussi notre tolérance envers les « mauvaises herbes » qui ne sont pas vraiment gênantes : véronique, mourons… Et toujours associons le plus de plantes possible ! Parce que les systèmes racinaires sont souvent complémentaires dans l’espace mais aussi parce que chaque plante mobilise dans le sol des éléments minéraux différents, des populations microbiennes diverses et variées.
Dernier point tout simple : lors de la récolte, coupons les plantes à leur collet et laissons les racines se décomposer dans le sol.
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