Le codex alimentarius

Ça fait un moment que je voulais vous parler de ce codex. Juste comme ça, au passage ! Vous savez ce que c’est qu’un codex ? A l’origine c’est des tablettes de bois assemblées entre elles pour faire une sorte de livre mais les tablettes ont été rapidement remplacées par le papyrus. Les chrétiens utilisaient les codex pour faire circuler leurs textes sacrés. Quand on entend codex alimentarius, on se dit que ça doit être la bible de l’alimentation, genre toutes les bonnes pratiques alimentaires pour vivre de longues années en bonne santé.

Bon ! Si vous me suivez, vous vous doutez que c’est surement autre chose !

Quand on consulte le site officiel du codex, on remarque déjà 2 logos, celui de l’OMS (L’organisation mondiale de la santé) et celui de la FAO (l’organisation des nations unie pour l’alimentation et l’agriculture). Sur le site, on peut lire que le Codex alimentarius vise à garantir des denrées alimentaires sûres et saines pour tous et partout.

Après le site officiel, j’ai jeté un coup d’œil sur wiki. Les premières lignes reprennent la présentation officielle et j’apprends au passage que 200 pays sont présents dans la commission du codex.

Avec le second paragraphe, on est déjà dans la controverse. Des personnalités médicales pensent que le codex n’est pas là pour servir les intérêts des consommateurs mais plutôt celui des multinationales de l’agroalimentaire. Bon rien de vraiment étonnant, on se doute bien que les mammouths de l’agroalimentaires ne vont pas se tirer une balle dans le pied. Ce qui devient plus inquiétant c’est la suite :

A force de tirer sur les ficelles de l’internet on tombe sur la vidéo d’Alexandre Rougé qui, à la suite de son article dans Nexus « Le codex alimentarius est-il toxique », nous apprend lors de l’interview que les cartes sont vraiment truquées. En résumé, selon Alexandre, le codex est là pour faire disparaitre les petites exploitations qui n’ont pas les moyens de se mettre aux normes dictées par le codex, pour au final laisser la place aux gros. Là où ça devient vraiment pervers et pourri. C’est que les gros de l’agro qui sont en faites les industries de la chimie qui vendent aussi bien des pesticides que des médicaments. Ces gros ont pour projet de nous servir des aliments de moins en moins bons en terme de qualité nutritionnelle pour nous rendre de plus en plus faibles pour au final nous vendre des médocs.

Après la vidéo d’Alexandre on tombe rapidement sur le médecin Rima E laibow, qui nous explique que dans le codex les gros imposent :

  • Que les vitamines soient interdites
  • Que toutes les vaches soient traitées aux hormones de Monsanto
  • Que tous les animaux soient traités aux antibiotiques
  • Que la nourriture soit irradiée

Pour couronner le tout, ils rendent à nouveau légal les 7 pires pesticides que 176 pays avaient interdit. Avec de telles règles c’est difficile de croire que le codex nous veut du bien. Les projections épidémiologiques des experts de l’OMC et de la FAO estiment comme résultat, un minimum de 3 milliards de morts. 1 Milliard de morts par famine et 2 milliards de malnutris.

Ça fait froid dans le dos ! On n’a même pas envie d’y croire.

Où est la vérité ?

C’est bien ça le problème ! Comment savoir où se situe le curseur de la vérité ? D’un côté on a le discours officiel des gros qui nous soutiennent qu’ils font ça pour notre santé. De l’autre on nous dit que l’intention est exterminer la moitié de la planète ! J’espère que la vérité se situe au moins au milieu.

Que peut on faire ?

Pas facile de trouver une réponse quand on ne sait même pas ou se situé la vérité ! Personnellement j’ai choisi une solution qui reste valable dans tous les cas.

  • M’éloigner sans cesse des grandes surfaces
  • Cultiver mon potager
  • Me rendre de plus en plus autonome

Ces réponses sont en elle-même source de joie et de satisfaction, et peuvent être très efficaces pour lutter contre les gros, si tout le monde s’y met.

Et vous ? Où est le curseur de votre vérité ? Quelles solutions avez-vous choisi ?

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Réponses

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  1. Salut Loïc! Je viens de lire ton article et je ne connaissais pas le Codex mais j’étais déjà au courant de leurs mauvaises intentions. Le monde devient fou et heureusement que certains ouvrent les yeux à temps! Concentrons nous sur le positif au lieu de nous pourrir la tête au quotidien avec leur malheur orchestré. Croyons en l’humain et nos pensées positives seront en notre faveur! A bientôt!

  2. Dans le codex alimentarius, on trouve tout. Tout le fonctionnement de notre société. De notre nourriture découlent la politique, les médias, l’argent, la santé, l’éducation, tout…
    Comme vous tous, nous avons choisi de nous éloigner des grandes surfaces. Jardinage naturel, potager, lessive à la cendre, shampoing ultra dilué, toilettes sèches, etc… Notre objectif : l’autosuffisance. Et nous sommes de plus en plus nombreux à y penser.
    Souvent, pour arriver à convaincre la “masse” de consommateurs qui consomment tout et n’importe quoi et surtout qui regardent la télé et écoutent la radio, il leur faut une situation grave, souvent la maladie. Dans mon entourage, on nous regardait bizarrement. Aujourd’hui que tous ou presque, jeunes et moins jeunes, sont malades, ils nous consultent…
    Dans tout ça, ce qui m’inquiète le plus, c’est le traitement de l’eau et les chemtrails car là, nous pouvons difficilement faire quelque chose. Pour le reste, continuons d’agir. Ça finira par marcher.Pensons aux générations futures.

        1. Bonjour Loic, oui tout à fait, ne suis loin d’être autonome, cependant j’ai actuellement dans mon jardin encore bon nombre de légumes, bon pour quelques un sous tunnel, ce qui permet de prolonger ma production

          1. Bonjour Loic, oui tout à fait, je ne suis loin, d’être autonome, cependant j’ai actuellement dans mon jardin encore bon nombre de légumes, bon pour quelques un sous tunnel, ce qui permet de prolonger ma production

  3. personnellement je tente de manger bio, pas trop de viande et je tente de me détacher des grandes surfaces avec un potager et des poules en devenir

  4. ça ne m’étonne pas du tout ce que tu dis dans cet article. Il n’y a qu’une seule façon d’être sûr de ce que l’on consomme ( et je ne parle pas seulement de nourriture) c’est de la faire soit même. Je vais partager ton article sur tous mes contacts Facebook pour essayer de le rendre le plus viral possible.
    Merci Loïc

  5. comme vous tous je me mets petit à petit à jardiner bio, et, je propose de l’aide à mes amis qui n’osent pas se lancer ; je vais donc chez eux et on jardine ensemble ; puis je leur demande d’en faire autant pour leurs amis, en espérant faire une chaîne…
    merci à tous.

  6. Ma démarche est : Devenir autonome Alimentairement !

    Comme Loïc :
    “Personnellement j’ai choisi une solution qui reste valable dans tous les cas.

    M’éloigner sans cesse des grandes surfaces
    Cultiver mon potager
    Me rendre de plus en plus autonome

    Ces réponses sont en elle-même source de joie et de satisfaction, et peuvent être très efficace pour lutter contre les gros, si tout le monde s’y met.”

    Merci

  7. Bonjour .
    Il y a tellement à dire et à débattre sur ce sujet que je pense qu’il n’y aura jamais de solution réelle et finale .
    Moi “j’accuse” la mondialisation de l’alimentation (et de bien d’autres choses) par l’argent et pour l’argent.
    Qui se préoccupe du cultivateur qui vend sa production dans la cour de sa ferme ; personne ….
    Tout est fait pour “diriger” le consommateur lambda .
    Ce n’est pas l’habitant des campagnes qui intéresse les multinationnales mais celui des villes qui est demandeur de produits propres qui n’ont plus de terre ni de racines … Et le pire est celui qui achète tout prêt ou juste à réchauffer . J’ai nommé ; les travailleurs et salariés de tout bords , vous & moi . Ceux & celles qui ne prennent plus le temps de préparer un menu car ce sont des heures “perdues” qu’ils ont soins d’utiliser à autre choses ; internet et les jeux vidéos , les heures passées dans les salles de musculations ou autres soit disant “bien être” . Mon “bien être” c’est d’avoir une bonne suée quand je bêche mon jardin ou que je porte mon arrosoir jusqu’au bout du jardin , mais beaucoup trop de jardiniers que je connais utilisent tout ce que l’industrie met à leur disposition ; tuyau , goutte à goutte , motoculteur , ect … Alors ….
    Et j’entents parler que , d’ici qq années , on ne pourra acheter un terrain qu’en fonction de la surface à bâtir , tout excédent sera sur-taxé !!! …
    Je ne serais plus là pour le vivre …
    Place aux jeunes . :mrgreen:

  8. Merci Eric, ça fait depuis des années que je dénonce le codex alimentarius qui a été finalisé par le PDG de l’ex IG Farben, entreprise nazie de pétrochimie qui a créé le gaz des camps de la mort. Multiplier les incroyables comestibles, soutenir tous mouvements tes que http://www.semencespaysannes.org/les_membres_du_reseau_semences_paysannes_205.php , ainsi le Mouvement des paysans sans terre, les zadistes…etc…sans oublier d’informer son entourage composent une façon efficace de résister aux “bonnes intentions” des lobbyistes. Ex : j’anime aussi des ateliers culinaires avec le Secours Populaire pour initier progressivement au végétarisme. Prochainement, la réalisation d’1 jardin arômatico-médicinal au Centre social de Foix, dans lequel seront pratiqués tes conseils, Eric, pour les bacs surélevés dans le cadre de l’intergénérationnel, via les âgé(e)s, hémiplégiques et ados du secteur jeunesse. Si ces quelques actions peuvent en inspirer d’autres, histoire de semer des graines d’espoir…
    Mais lorsqu’on agit pour un monde meilleur, on est forcément contre les monopoles économiques et politiques actuels. Désolée de contrarier certain(e)s d’entre vous, mais on ne peut fermer les yeux sur les crimes et les écocides commis pour bâtir les empires. Donc SVP, diffusez au moins http://www.endecocide.eu/?lang=fr, c’est sans danger. Sherpa et d’autres projettent de monter 1 Tribunal international contre les crimes économiques. En attendant, le Tafta a été concocté depuis des années pour détruire plus rapidement les services publiques. Aujourd’hui ne s’occuper que de son jardin perso, ne suffit plus. Les terres cultivables et les libertés sont de + en + menacées. Donc alerte et vigilance, là c’est autre que limaces et escargots !

    Sinon, côté jardin, une association judicieuse des plantes, ainsi que purin d’ortie & co (qui a failli être interdit, par ailleurs) sont des procédés d’aide à minimiser les indésirables.

  9. Une des parades à cet situation de fin de cycle de notre civilisation est la découverte (par apprentissage) des fruits, fleurs et racines comestibles dans la nature. Je sais, cela ne couvre pas le 100% des besoins mais peut y contribuer largement notamment pour ceux qui sont encore accrocher au mythe des protéines. Ex: L’ortie en contient plus que la viande et si on la consomme crue(sous forme de jus) elles sont avec une quantité d’autres éléments nutritifs bio-assimilables ce qui n’est pas le cas quand on la cuit. Par un apport partiel de plantes sauvages on évite une partie des problèmes soulevé par Loïc (les divers contaminations des produits agro-industriels, pesticides, fongicides, insecticides, antibiotiques, ionisations contamination due aux emballages plastiques, etc). La consommation de produits naturels et sauvages nous fait balader dans la nature reprendre pieds en son sein et nous inspire pour notre jardin potager.

  10. Une des mesure à prendre est par exemple de soutenir et de participer à des mouvements de résistances de type kokopelli (voir le lien suivant pour infos):
    http://kokopelli-suisse.com/wordpress/qui-sommes-nous/
    Le pire est que dans la deuxième phase de ce projet (Codex Alimentarius), il est prévu de déclarer hors la loi toute sources de semence ou de nourriture qui ne proviennent pas des sources imposées par ce codex, ne riez pas, les lois sont déjà à l’étude aux US et prêtes à être appliquées, pour résumer, si ce projet passe, le fait d’échanger des plants ou des graines avec votre voisin ou même simplement à lui offrir un panier de légumes, vous mettrait tous les deux en position de “hors la loi”, donc amendable et avec saisie de tous vos produit.
    En clair, si cette ignominie passe, (et je doute fort de la confiance que l’on peut avoir de nos élus), cultiver un jardin “naturel” deviendrait purement et simplement interdit… pour en revenir à la question de loïc, mon curseur est franchement du coté de la liberté et donc à l’inverse des mesures voulues par les gros industriels de la planète.
    Voilà, bon jardin à tous, il faut garder le courage malgré une année décevante sur le plan des résultats, conséquence d’une météo médiocre. (a qui profite le dérèglement climatique ?) 🙂

  11. Quand on ne peut savoir si une information est vraie ou fausse, il est possible de choisir la conduite préférable, quelle que soit la réalité. cf. la “théorie des jeux”
    Il vaut mieux cultiver ses propres légumes -même si le codex alimentarius est bienfaisant et inoffensif-, plutôt que d’avoir confiance dans un “système de production” qui serait pernicieux et nocif.
    Pour l’instant, chacun est libre de s’approvisionner comme il le souhaite, pourvu que ça dure!

    Mais la question principale ne concerne pas l’alimentation :
    Est-ce que la Mondialisation a plus d’avenir que le Communisme (auquel beaucoup ont cru pendant toutes leur existence) ?
    Les Soviétiques et les Cubains ont bien été obligés de réapprendre à cultiver leur lopin pour survivre.

    Finalement, quand on a de quoi manger dans son jardin, certaines questions sont moins vitales.

  12. Je vis en Nouvelle-Calédonie, là où les pesticides interdits ailleurs dans le monde sont encore largement utilisés sur les cultures locales qu’on vous oblige à consommer (si ça pousse ici, ben on n’importe pas, exemple des pommes de terre, dégueulasses mais y en a pas d’autres à trouver sur les étals, idem pour les fraises, salades, carottes et j’en passe) là où nous vivons sous la menace du blé australien 100% OGM, 95% du blé importé ici pour fabriquer le pain, les pâtes à l’horizon 2015. pas simple de manger sereinement dans le coin, alors j’ai fait le choix d’acheter, très cher, dans les deux ou trois magasins bio de Nouméa et de faire pousser mes légumes dans mon potager avec de très faibles rendements dus à la quantité d’insctes et vermines en tous genres qui s’en donnent à coeur joie en l’absence de pesticides, on mange moins, je fais mon pain et mes gateaux moi- même avec de la farine bio, on ne consomme que du poisson péché localement, ça ne nous fait pas de mal, bientôt un poulailler pour varier un peu les sources de protéines et des fruitiers pour les vitamines: bananes, fruits de la passion, papaye qui poussent très vite, oranges, pamplemousse, ce sera plus long…… C’est ma façon de rejeter ce système alimentaire qu’on veut nous imposer et qui nous ruine la santé

  13. Lorsque j’avais 10 ans, (il y a 61 ans de cela) j’ai entendu un paysan dire :
    “mais il vont rendre nos vaches folles!”. C’était le début de l’alimentaire à
    base de déchets de carcasses retraitées…..!! Je suis végétarienne (pas stricte) et me porte bien. Depuis trois ans que je suis à la retraite j’ai organisé un jardin potager de permaculture dans une Institution de poly-handi
    capées et j’ai appris que toute la nourriture était congelée!!! Ils refusent
    ce qui pousse généreusement dans le jardin !!! (c’est le personnel qui s’en régale)c’est ce qui est appelé “le principe de la traçabilité!!!”.
    Personnellement je fais partie d’une A.M.A.P. et notre groupe soutien un couple d’agriculteurs. Cela nous demande de l’investissement en temps aussi (nous allons l’aider 3 ou 4 fois) mais cela crée entre nous des liens de soli
    darité, tellement peu fréquents en grande ville!!!
    Nous devons être très vigilants et actifs et éveiller les jeunes générations
    à cette réalité perverse.

  14. Bonsoir Loîc,
    Je souscrit à tout ce que tu dis: même si les gens du CODEX sont au départ de bonne foi (du moins pour certains), on conçoit aisément qu’ils soient victimes de puissants lobbies, vu qu’il y a beaucoup d’argent à gagner. Pour ma part, comme Couderc ci-dessus, je me suis rallié aux thèses de Thierry (site vivrecru) auxquelles j’ai ajouté celles du Pr HIGA (EM=efficiants micro-organisms), en particulier pour le jardin.
    Je ne suis sûr de rien, mais j’y crois beaucoup.

  15. Merci Loïc pour ces infos et merci aux adhérents qui montre leur détermination à ne pas enrichir ceux qui nous empoisonnent… Cultivons notre jardin même si les résultats ne sont pas toujours ceux qu’ont avait espéré

  16. ****
    M’éloigner sans cesse des grandes surfaces
    Cultiver mon potager
    Me rendre de plus en plus autonome****
    Voilà Loïc tout est dit.
    Nous consommateurs sommes pris en otages de ces “salopards” qui en ont rien à faire de notre santé, mais qui regardent uniquement leur “porte monnaie”.
    Quand on sait par exemple pour “faire de belles tomates industrielles” il faut de l’eau, des pesticides et des insecticides, là aussi… tout est dit. Et oui ces pieds de tomates ne connaissent pas la terre pour se développer !
    En résumé, cultivons notre jardin, et laissons les “gros” se dé…. brouiller avec leur merde qu’ils veulent nous vendre. De plus en plus se créent des “jardins dit d’ouvriers”, et ce n’est pas pour rien, nous commençons à prendre conscience que ce que nous achetons nous empoisonne !

  17. Merci Loïc pour ce site du potager en carrés que je trouve très rafraichissant!
    Les pratiques de culture au jardin illustrent bien notre époque: on y côtoie le meilleur comme le pire; alors, il faut garder son bon sens, rester positif, et surtout: regarder où l’on met les pieds! ah! ah!

  18. Bonjour,
    Merci pour toutes ces infos ; merci à tous ceux qui comme vous nous donnent gratuitement des conseils et infos ; quel altruisme ! je ferme donc les yeux sur les fautes, et demande aux autres d’en faire autant et de se concentrer sur l’essentiel.
    Bonne continuation

  19. Tout cela est bien vrai! Il faut savoir qu’il existe des gens cyniques qui ne pensent qu’à l’argent immédiat au mépris de toute éthique. Avec Pierre Rahbi et tant d’autres, cultivons notre jardin et continuons le combat! Pour ceux qui n’ont que de piètres résultats (et j’en suis!) il y a les paniers verts distribués dans les fermes, les amap et autres initiatives de proximité! C’est meilleur que le bio des grandes surfaces…
    Bon courage à tous, Yvonne

  20. Hou hou, méfions-nous les loups sont partout ! Vu ces derniers jours un “gentil petit producteur local” sur le marché d’un bourg aveyronnais qui vend des oeufs marqués 3FR. Ce qui veut dire POULES ELEVEES EN CAGE ! C’est bon les vacances à la campagne !

  21. Merci de diffuser cette info que nos médias nous cachent.
    Où est la vérité ?
    Mais non voyons les labo et les multi-nationales ne veulent pas faire d’argent à tout prix, ce sont les bienfaiteurs de l’humanité grace à eux les cancers n’existent pas, les abeilles se portent à merveille, la nature est en est pleine expansion, les médocs n’ont pas d’effets secondaire sinon cela nous obligerait à prendre d’autres médocs qui feraient gagner de l’argent aux labo.
    Mais non voyons, nous pouvons leur faire confiance ils veillent à notre bien être
    ben oui sinon on aurait vu naître
    -la vache folle
    -la grippe aviaire
    -le h1n1
    -ebola
    -le sida
    -la grippe porcine
    -les ogm
    ils sont là pour notre santé puisque nos aliments ne contiennent pas de pesticides ,colorants, additifs ils ne contiennent pas trop de sucre, de gras, de sel, de l’huile de palme… sinon ce serait trop nocif pour notre santé.

    Alors soyez rassuré braves gens continuez à croire l’oligarchie bienveillante.

    1. Bonjour Francis

      Ils sont fort quand même ! Malgré cette évidence, j’ai moi même du mal a y croire. Si déjà en étant averti et documenté on doute, alors j’imagine pour la plupart des gens qui regarde encore la TV ! 😕

  22. Suis dans le Var, mêmes remarques que Nicole ….en plus l’humus disparaît.. !!! malgré la permaculture !!!
    Ceci dit, toujours se souvenir que l’argent ne se mange pas !!!!

  23. Bonjour,
    Je vous suggère d’aller faire un tour du côté vivrecru.org si vous souhaitez vous forger votre vérité.
    Mathieu

  24. Evidemment : “cultiver son potager” mais je ne sais pas pour vous mais nous dans le Var, est ce à cause des chemtrails (géo ingénierie), nos légumes poussent d’une façon bizarre, quand ils veulent bien pousser. Tout traîne lamentablement, sans parler du nombre impressionnant de fleurs mâles et de l’absence grandissante de fleurs femelles dans les courges et courgettes. Je n’aurai peut-être pas d’autre choix que de faire partie des malades mais j’aurai le choix de ne pas faire gagner d’argent aux multinationales en ne me soignant pas, mourir pour mourir, autant que ça soit comme je le souhaite.

    1. Bonjour nicole,
      Ne paniquez pas si vos courgettes ne font que des fleurs mâles. Si c’est le cas c’est qu’elles sont stressées. En fait, elles attendent le bon moment pour faire des fleurs femelles car ces dernières sont assez épuisantes pour la plante. Elles leur demandent beaucoup d’énergie. Si la plante n’a pas assez d’eau (stress hydrique) si la plante ne reçoit pas assez de lumière (ombre ou durée du jour encore trop courte au printemps) si le feuillage n’est pas encore assez développé (surface foliaire optimale) ou si une maladie perturbe la photosynthèse de ces mêmes feuilles(feutre cryptogamique ou virose), si il n’y a pas assez a manger (c’est que c’est gourmand une courgette !) si il ne fait pas assez chaud (je suis à Dunkerque et je sais de quoi je parle )ou si vous avez une voix de Castafiore lors de vos vocalises en peignoir au petit matin dans le jardin ( euh là je blague !), alors à ce moment là, vos courgettes ne ferons pas de fleurs femelles, les fleurs mâles apparaissant ne sont là que pour entretenir les insectes du coin et éventuellement polliniser une fleur femelle téméraire d’un autre plan un peu plus loin. Peu de choses à voir donc avec l’industrie Monsantesque sur ce coup là même si je suis un fervent défenseur de la diversité végétale et du non brevetage du vivant !
      Cultivez, conservez, préservez, des espèces et variétés anciennes que diable ! 😈

  25. Bonjour Loic,

    Je crois que nous sommes toujours confronté au même problème ! Des personnes qui pensent à leurs profits plutôt qu’à la santé des consommateurs. D’ailleurs où est leurs intérêts de se soucier de la santé puisque derrière, ils vont pouvoir commercialiser des tonnes de médicaments ?

    La boucle est bouclé et le profit assuré ! Un autre fait inquiétant reste (selon moi) les textes de loi qui passent pour autoriser tel ou tel pesticides ou produits sur le marché. Enfin ! probablement un arrosage automatique d’avantages en tout genre envers ces têtes pensantes.

    Sinon, j’ai adoré les sources que tu proposes dans ton article 😉
    A très bientôt et bon jardin
    Amicalement
    Yannick Hirel

  26. Votre article est très intéressant car je voulais moi-même creuser le sujet. Je crois que la solution est simple : il faut utiliser le bon sens et ne pas forcément croire tous ces gens qui nous veulent du bien.

    D’autre part, je pense qu’il est très important de lutter POUR un monde meilleur et non CONTRE tous les menteurs de la planète. En effet, lutter CONTRE consomme généralement une énergie folle quand on voit la taille des monstres auxquels il faut s’attaquer. A l’inverse, lutter POUR fournit des solutions et est très enrichissant!

    PS : Je me propose comme volontaire pour corriger les fautes d’orthographes que je vois dans vos articles. Je ne suis pas un modèle non plus, mais ça m’écorche l’oreille 😉

    1. En effet la démarche de promouvoir le POUR est nettement plus efficace et active que celle du CONTRE.
      Il est en effet positif d’agir pour la paix, par exemple, car on nourrit alors un égrégore de PAIX alors que descendre dans la rue contre la guerre ne fait qu’envenimer les sentiments de peur, de crainte, de haine que transporte la guerre.
      C’est pareil pour les pesticides, agissons pour laisser la nature agir dans le “bon sens paysan”.(Paysan = celui qui aime son pays ! )

  27. Ma solution actuelle est de prendre le maximum en BIO, si possible dans les magasins BioCoop, mais aussi les bio des grandes surfaces car, il faut l’admettre, les petites surfaces disparaissent ou sont gérées par des imprudents. Les grandes surfaces, on le sait, ne vivent QUE pour l’argent. Les magasins dits de proximités, eux, survivent ou vendent les produits des grandes sufaces … plus cher !
    Mon potager ? il est squatté par les limaces et escargots que je ne ”chimise” pas, donc : ils sont les rois et me le montrent sans arrêt !
    Je m’abstiens au maximum de consommer des médocs, et mon médecin référent ne sait même pas si j’existe encore !

  28. Tout à fait Loïc! Quoiqu’il arrive, question santé, en mangeant les fruits et légumes cultivés nous-même naturellement, on ne peut pas se tromper! 😉

    1. Je suis aussi accro aux magasins bio. Le problème est qu’il faut en faire plusieurs pour ravitailler une famille. Faire son propre potager est décevant: trop froid: les courgettes ne sont pas au rendez-vous des assiettes; trop humide: les limaces et champignons et virus attaquent tout ce qui lève; trop sec: plus assez d’eau à partager. Ce ne sont pas les quelques feuilles de poireau ou épluchures de pomme de terre qui ,par ces grands vents, vont faire beaucoup d’humus. On ne peut pas mobiliser tous les retraités pour faire de potagers bio ! En 1789 90% des 26millions de français ont un potager en berne: plus rien pour faire de l’humus, le froid à répétition, les maladies diverses des cultures,… apportent la dénutrition de la population et ses maladies. La bonne volonté bio est un vœu pieux …mais ce n’est pas suffisant avec une telle démographie et des femmes qui travaillent en bureau. Où est la solution?

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